Pourquoi les billets de Gréco ? Greco, 2 janvier 202425 juin 2024 En observant l’évolution des Intelligences Artificielles, je me suis rappelé que j’avais écrit deux articles pour le journal “Les Échos”, l’un en 1996 et l’autre en 2006*, articles dans lesquels j’évoquais la fragmentation de l’œuvre, l’avenir du droit moral et la prolifération des créateurs ; j’imaginai alors que l’œuvre et son ersatz exploité par l’industrie technomusicale allaient se confondre. Nous y sommes donc. 28 ans après, ces propos, plutôt visionnaires, prennent toutes leurs dimensions maintenant que nous savons que l’IA marquera en profondeur nos sociétés et ceci dans presque tous les domaines. Les “billets de Gréco” sont nés de cette envie de reprendre mes réflexions sur nos métiers de compositeurs (et de ceux qui nous entourent). Avec quelques pointes d’humour ou de dérision, nombre de ces écrits concerneront la conflagration générée par l’Intelligence Artificielle. Certaines situations évoquées vous paraîtront incongrues, mais sachez que j’espère sincèrement qu’elles resteront au stade de la fiction ! Mais qui peut le dire ? D’autres réflexions intéresseront le droit d’auteur, la profession de compositeur pour l’image, la Sacem, etc. Avec pourquoi pas, quelques anecdotes vécues au cours de ma carrière. Bonne lecture Les deux articles parus dans “Les Echos” Retour au sommaire Sujets divers